| bien | | | On ne peut atteindre le Ciel qu’en sacrifiant quelque chose de vital sur la Terre ; mais le Ciel, c’est l’angoisse, la consolation fugitive, la solitude des joies et le silence du Bien. Mais l’obsédé de l’Action trouvera toujours une justification de son ancrage à la Terre : « Au Ciel il n’y a aucune occasion de sacrifice, tout n’y est que calme et volupté » - A.Carpentier - « En el Reino de los Cielos - imposibilidad de sacrificio, reposo y deleite ». Le Ciel s’ouvre, quand je reste seul, débarrassé des autres et même de mon propre soi connu ; l’Enfer sévit sur la Terre des autres. | | | | |
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